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Le portrait du fondateur : le pasteur Yvon Charles
Le portrait du fondateur : le pasteur Yvon Charles

Le Centre Missionnaire a vu le jour au début des années soixante. Il a été fondé par le pasteur Yvon Charles, fidèlement épaulé et soutenu par son épouse Anne-Marie ; dans le but de prouver modestement la réalité de l'existence de Dieu sur le terrain concret des...

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Le prophète Martinus Bjerre & le pasteur Yvon Charles
Le prophète Martinus Bjerre & le pasteur Yvon Charles

"Le prophète Martinus Bjerre (né le vendredi 10 avril 1896), a été jusqu'à sa mort, (survenue à Odense le 28 mai 1969, à l’âge de 73 ans), pasteur de l'Église Apostolique du Danemark. Il laisse derrière lui des traces profondes et nombreuses, tout particulièrement...

Jean-Pierre (dit « Gros) & Sabrina SABATIER :

« Au Centre Missionnaire la Parole de Dieu est vraiment mise en pratique ! »

M. & Me Jean-Pierre (dit "Gros) SABATIER
l
10 février 2022

France

     Je m’appelle Jean-Pierre Sabatier, mais je suis plus connu sous mon surnom : « Gros ». Ma femme s’appelle Sabrina. Nous avons trois enfants, des jumeaux : Mike et Kévin, et une fille : Léa. Nous vivons à Montpellier et bien que notre nom n’en ait pas la consonance, nous sommes gitanos catalans, une des plus grandes ethnies du peuple tsigane qui se trouvent dans le sud de la France.

PRÉSENTATION

Je suis né dans une famille qui ne connaissait pas le Seigneur, mon épouse aussi, même si durant son enfance, elle a pu avoir la joie d’assister à des réunions que tenait le pasteur André Bourdon, et à l’instruction biblique que tenait son épouse. Comme toute famille de gitanos, j’ai été élevé selon les traditions et bonnes coutumes gitanes, qui sont même bibliques pour la plupart, sans même le savoir. Elles consistent dans le respect absolu des anciens et des parents, la droiture entre gitanos, le sens de la famille, la loyauté entre amis, l’hospitalité, ainsi que l’honneur du mariage…

Les recherches généalogiques qu’ont entreprises nos enfants nous apprennent que ma famille paternelle s’est établie à Montpellier durant la Seconde Guerre mondiale, à la suite du décret d’avril 1940 interdisant la circulation des itinérants dans toute la France. En revanche, ma famille maternelle y a vraisemblablement toujours vécu.

Du côté de ma femme, selon les archives de la ville, sa famille paternelle est l’une des plus anciennes familles gitanes catalanes à s’être installées à Montpellier, et sa famille maternelle a quitté l’Espagne pour fuir le régime franquiste dans les années 1930…

Je ne connaissais rien à la religion, si ce n’est les pèlerinages aux Saintes-Maries-de-la-Mer une fois l’an, et les rares rituels catholiques organisés par l’un ou l’autre de la famille. Mais nous avions toujours conscience d’un Dieu unique.

J’ai grandi au sein d’une communauté connue pour son niveau de délinquance. À tel point que, poussé par la fierté, je voulais moi aussi avoir ma place dans ce milieu. Alors que mes amis s’amusaient avec les gens de leur âge, j’avais l’habitude d’aller avec les anciens pour apprendre d’eux… J’étais considéré comme le « caïd » de la famille. Et en grandissant, j’ai très vite découvert le monde de la rue et de la nuit, avec tout ce qui en découle…

J’étais connu pour être un bon bagarreur et un excellent pilote de voiture. Lorsque vous êtes dans ce milieu, l’engrenage est très rapide. J’ai donc commencé à en faire davantage : cambriolages, braquages, vols à main armée, course-poursuite avec la police à plus de 200 km/h, trafic de faux billets de banque, et bien entendu, le trafic de drogue…

Si bien qu’avec un de mes cousins, j’ai commencé à fréquenter le « milieu » comme on dit. Les gens avec qui nous traitions étaient des membres de la mafia lyonnaise connus pour leurs braquages dans la région parisienne. Avec eux, j’ai commencé à racketter des bars, des discothèques, à commettre des actes d’intimidation tels que des fusillades, etc. Ces personnes comptaient sur mon cousin et moi-même pour faire régner « l’ordre » dans la ville de Montpellier. J’avais réussi à me faire un nom, j’étais craint et ma réputation n’était plus à faire !

Mon épouse était très connue de notre peuple, c’était une danseuse exceptionnelle. Elle dansait sur tous les styles musicaux depuis l’enfance, et elle avait beaucoup de talent. Si bien que beaucoup venaient la voir pour faire des battles de danse. Les anciens recommandaient même à son père de l’inscrire dans des castings pour en faire son métier… Particulièrement chez les Gipsy Kings qui cherchaient des jeunes danseuses comme elle à l’époque.

Nous nous sommes mariés très jeunes à 18 ans et 15 ans et sommes devenus parents de jumeaux en 1993, qui ont grandi dans ce milieu-là jusqu’à notre conversion à l’Évangile en 1997…

Jean-Pierre (dit Gros) à Montpellier avant sa conversion à l'Evangile
Jean-Pierre (dit Gros) et Sabrina SABATIER avant leur conversion

MA CONVERSION

Quelquefois, je m’interrogeais sur le cours de ma vie, et dans un moment de lucidité, je reconnus que ce n’était pas la vraie vie. Une nuit, par exemple, après un « coup » commis avec des cousins, nous nous sommes promis d’arrêter avec cette vie de violence. Mais le mal a rapidement pris le dessus et cette résolution n’a tenu que quelques jours. Seul Jésus-Christ peut apporter la délivrance…

C’est quelques mois avant la naissance de notre fille que, à travers une expérience douloureuse, le Seigneur s’est révélé à nous…

Mariage de Jean-Pierre (dit "Gros") et Sabrina SABATIER - 1992
Mariage de M. & Me Sabatier en 1992

En raison de personnes jalouses, mal intentionnées, qui voulaient détruire notre mariage, j’ai été piégé de telle façon que je croyais que ma femme m’avait été infidèle. Ce qui était faux. J’ai commencé à la frapper très fort, avant de la menacer de la rendre handicapée avec un coup de fusil dans les jambes. Plus elle me disait que ce n’était pas vrai, plus elle recevait des coups, elle souffrait beaucoup…

Un jour, alors que j’étais parti, ses parents sont venus pour la cacher loin de la ville. J’ai donc « vu noir ». Je ne répondais plus de mes actes, à un tel point que j’ai tiré sur mon propre beau-père, heureusement les balles ne l’avaient pas touché dans sa voiture. À la lumière de l’Évangile, je sais que j’ai subi une influence démoniaque pour agir comme je l’ai fait.

La police m’a arrêté et mis en garde à vue. Dans la solitude de la cellule, je me trouvais seul devant ma conscience. Presque malgré moi, je me suis mis à réfléchir. Et tout à coup, j’ai réalisé le mal que je faisais à ma femme et à ma famille. Instantanément, j’ai prié Dieu que je ne connaissais pas, en lui demandant : « Pourquoi je commets tout ce mal ? ! » Et soudainement une chaleur bienveillante a envahi mon corps, j’ai senti la présence de Dieu, une délivrance, comme si quelque chose sortait de mon cœur. C’était tellement fort que je me suis mis à déchirer mes vêtements. Les policiers sont alors venus pour me calmer croyant à une tentative de suicide…

Quelques jours plus tard, j’ai réussi à trouver le lieu où, durant ce temps, ma femme avait été logée avec sa famille et je l’ai convaincue de rentrer. En lui promettant en larmes, moi qui n’avais jamais pleuré devant elle, que je ne la ferais plus souffrir, que je la croyais maintenant.

Un soir, j’ai demandé à mon épouse d’appeler ma mère pour qu’elle vienne avec le pasteur évangélique pour prier pour moi. Ma mère a appelé le pasteur qui est venu accompagné de plusieurs frères en la foi, « au cas où »… Ils me connaissaient de réputation et avaient une petite crainte de ma réaction. Si bien que le pasteur pesait chaque mot, comme « avec des pincettes », pour me montrer la misère spirituelle dans laquelle ma famille et moi étions. Après avoir prié, ils sont partis.

Nous avons alors commencé à aller à l’église et à participer de plus en plus aux réunions. Mais l’adversaire ne voulait pas lâcher prise, parce que dans mon cœur, je pensais toujours qu’il s’était passé quelque chose dans cette histoire, et que le diable embrouillait toujours la situation.

Entre-temps, mon épouse souffrait dans son cœur, elle était accusée d’une chose horrible dont elle n’était pas coupable. Un soir, elle alla au balcon, leva les yeux vers le ciel étoilé et se rappela qu’un Dieu existait. Elle fit monter une prière au Dieu Vivant : « Seigneur, tu sais toi que je n’ai rien fait ». Tout à coup, elle entendit une voix qui lui dit : « Parce que j’ai vu ton innocence, je vais te venir en aide et ce jour-là, je te dirai comment et quels moments ! »

Après ces faits, tout se déroula de manière spectaculaire, et Dieu a conduit mon épouse pour que toutes les racines mauvaises semées par l’adversaire dans les cœurs disparaissent totalement.

Tout est devenu nouveau…

Dès lors, le Seigneur a pu changer nos vies. Joie, paix, amour ont alors remplacé tristesse, peur, violence, etc. Même nos jumeaux de 4 ans et demi à l’époque furent marqués en voyant la différence. Ils étaient heureux de le raconter à tout le monde ! En voyant d’autres personnes se battre, ils allèrent même voir un pasteur pour lui dire : « tu as vu, notre père, lui, ne se bat plus ! »

Nous remercions le Seigneur de les avoir gardés, car très certainement, ils auraient suivi les traces de leur père dans le banditisme, puisque vraiment jeunes déjà, je les faisais tenir des armes et les endurcissais pour le combat.

Notre conversion est un très grand témoignage parmi notre peuple, une transformation de vie et de cœur miraculeuse, tout avait changé ! Il nous arrive parfois de rencontrer des personnes qui nous ont connus auparavant ; elles sont émerveillées de voir l’œuvre que le Seigneur peut réaliser dans un cœur et ne peuvent que s’exclamer : « Dieu est vivant ! »

Après cette conversion retentissante, le chef de la mafia voulait récupérer un pistolet prêté pour accomplir mes mauvaises actions, mais je m’en étais débarrassé… il a donc organisé une entrevue, surveillée par des snipers, pour finir par me déclarer : « Surtout reste comme tu es, tu as choisi le meilleur chemin… »

Famille SABATIER en 1997 - peu de temps après leur conversion
Quelques jours après leur conversion en 1997 - sortie en famille

Nous avons également tout mis en ordre dans nos vies. Dans l’incapacité de pouvoir restituer les biens volés aux propriétaires et usines (qui ont fermé entre-temps par exemple), on a fait disparaître tout ce qui était volé dans notre maison : canapé, machine à laver, cuisine, etc., pour se retrouver finalement avec presque plus rien, tellement tout ce qu’il y avait à la maison avait été cambriolé. Nous avons également été à la police pour que tout soit réglé aussi vis-à-vis de la justice.

Mais le Seigneur, voyant que nous voulions être en ordre, nous a bénis de manière telle qu’Il nous a donné tout au centuple.

« Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. » (2 Corinthiens, ch. 5, v. 17)

LE CENTRE MISSIONNAIRE DE CARHAIX

COMMENT NOUS AVONS CONNU LE CMEB

Lors d’une mission pastorale organisée en 2002 dans le Grand Sud, par l’homme de Dieu et apôtre de notre peuple : Manico Jimenez, j’entendis la prédication d’un pasteur breton que je ne connaissais pas, invité spécialement pour l’occasion : le pasteur Yvon Charles. Mis à part les prédications du pasteur Manico Jimenez, je n’avais jamais entendu l’annonce de l’Évangile et des enseignements bibliques de cette profondeur…

Durant cette mission, un pasteur m’a donné un « journal » que je ne connaissais pas non plus, il s’agissait d’un numéro des Documents « Expériences » consacré au réveil chez les Gitanos. La mission terminée, j’achetais aussi les cassettes des prédications enregistrées lors de cette mission, car je voulais absolument partager ces riches moments bénis avec ma femme. On désirait ardemment être agréables à Dieu et mieux connaître le Seigneur… Quand ma femme a écouté les prédications, comme moi, elle fut saisie par la présence de Dieu et l’onction profonde de la puissance et la clarté de l’annonce de l’Évangile… : « Il faut que nous allions voir ce serviteur de Dieu et son église ! » me dit-elle.

Il y avait toutes les coordonnées dans le Document « Expériences » et nous avons téléphoné au numéro indiqué en disant que nous étions de Montpellier et que nous souhaitions venir assister à des réunions. Une femme nous a répondu, c’était la diaconesse Simonne Daverat.

Vu la distance qui nous séparait, elle nous informa qu’il y avait des retraites spirituelles de plusieurs jours organisées au Centre Missionnaire et que la prochaine, celle de Pâques 2003, commençait dans quelques semaines. Il serait peut-être préférable pour nous de venir à ce moment-là… Nous nous sommes donc inscrits pour cette « mission » comme on les appelle chez nous.

NOTRE PREMIÈRE VENUE AU CENTRE MISSIONNAIRE…

Quand nous sommes arrivés la première fois devant le Centre Missionnaire, après 12/13 heures de route, c’est Madame Charles, l’épouse du fondateur et une sœur diaconesse, qui nous ont accueillis avec une grande joie ! Mais nous ne savions pas, à l’époque qui était Madame Charles…

Me Charles et Me Sabatier lors de la retraite spirituelle de Pâques 2003
M. & Me Sabatier et le pasteur Samuel Charles et son épouse - retraite spirituelle avril 2003
Premier petit-déjeuner de la famille SABATIER au Centre Missionnaire - avril 2003 (M. Sabatier prend la photo)
Famille Sabatier (sans Léa) devant la chaire du CMEB - avril 2003

Elle nous indiqua que la retraite spirituelle ne commençait que le lendemain. Nous lui avons dit que nous ne le savions pas et que nous allions alors prendre une chambre à l’hôtel pour la nuit. Mais Madame Charles n’a pas voulu nous laisser partir après ce très long voyage, et nous a dit que les portes du Centre Missionnaire nous étaient grandes ouvertes et que nous serions logés, ainsi que nos enfants…

Mis à part le Pasteur Clément Le Cossec, c’était la première fois pour nous que des « payous » (des non-Gitans dans notre langue, au même titre que «Gadjo» en langue manouche) nous accueillaient ainsi. « Il n’y a plus ni Juif ni Grec, il n’y a plus ni esclave ni homme libre, il n’y a plus ni homme ni femme, car vous tous, vous êtes un en Jésus-Christ. » dit la Bible. Et nous l’avons vécu pour la première fois au Centre Missionnaire…

Lors de cette première visite, nos cœurs ont été étreints par la présence de Dieu, ce fut pour nous une grande joie, nous y avons vu –et voyons toujours– l’Évangile vécu, le saint respect de la maison de Dieu, la communion des frères et sœurs, chacun à sa place spécifique, dans l’harmonie. Quand la première fois nous avons entendu la prédication de la Parole de Dieu, nos cœurs brûlaient au-dedans de nous, quelle droiture, quelle clarté, quelle vérité ! C’était ce à quoi nous aspirions et aspirons encore…

L’enseignement reçu lors de cette première retraite portait déjà du fruit concret dans nos vies. Ainsi nous étions venus en Bretagne à 200 km/h… et nous en sommes repartis en respectant tous les panneaux de limitation de vitesse, pour la première fois de ma vie!

NOUS AVONS CONNU DE GRANDS MOMENTS DE BÉNÉDICTION AU CENTRE MISSIONNAIRE…

Nous assistons depuis, à chaque retraite spirituelle de Pâques et d’été, nous avons été accueillis pour des moments de retraites personnelles également, et partageons encore, en dehors de ces moments si bénis, plusieurs fois dans l’année, des moments de communion avec nos frères et sœurs du Centre… Nous avons connu de grands moments de bénédiction, des guérisons miraculeuses, des directions précises du Seigneur pour notre marche spirituelle, durant les retraites spirituelles…

Depuis leur naissance prématurée à six mois ½, nos jumeaux étaient atteints d’un asthme chronique très sévère qui ne cessait de s’aggraver d’année en année. Ces problèmes respiratoires étaient tels qu’ils ne pouvaient jouer normalement avec leurs copains et cela les prenait même en dormant la nuit. Mon épouse devait les réveiller pour qu’ils ne s’étouffent pas.

Notre fille, qui avait huit ans, était atteinte d’une anémie depuis l’âge de quatre ans. Les médecins étaient inquiets pour sa santé… Voyant cela, nous leur avons expliqué avec des mots simples que le Seigneur pouvait les guérir. C’est donc avec une foi d’enfant que nos trois enfants sont allés à une réunion de prière pour les malades durant une retraite spirituelle en août 2006. Au cours de la prière, ils ont tous les trois ressenti dans leurs jeunes cœurs d’enfant, la présence de Dieu, pleurant alors devant l’amour du Seigneur. Cette expérience les a profondément marqués.

Nous nous sommes rendu compte en sortant de la salle de réunion qu’ils ont été instantanément guéris miraculeusement de leurs maladies. On voyait nos jumeaux courir normalement avec leurs copains après la réunion, sans qu’ils aient à s’arrêter entre deux quintes de toux et notre petite fille manger ses repas avec appétit. Depuis, aucune crise d’asthme et anémie n’est jamais réapparue!

On aurait bien d’autres exemples à donner de la bonté de Dieu et des guérisons reçues au Centre par le Seigneur, pour mon épouse notamment… Mais comme le dit la Bible: « Tu as multiplié, Éternel, mon Dieu ! Tes merveilles et tes desseins en notre faveur; nul n’est comparable à toi; je voudrais les publier et les proclamer, mais leur nombre est trop grand pour que je les raconte. »

Les enfants SABATIER au Centre Missionnaire en avril 2004
Famille Sabatier au Centre Missionnaire lors de la retraite d'été 2004

MOT DE LA FIN

Pour l’œuvre du Centre Missionnaire, comme dit la Bible, la Parole de Dieu: «C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez!» À leur vie, leur comportement, leur vie de couple, à l’éducation des enfants (les enfants sont le miroir des parents), à leur façon de parler, etc. Nous pouvons alors dire et affirmer avec une conviction forte: que le Centre Missionnaire est une œuvre bénie, venant réellement de Dieu, qui fait du bien à tous ceux qui aiment la Vérité des Saintes Écritures, qui fait du bien à beaucoup de monde, un lieu où la Parole de Dieu est mise en pratique…

Nous avons vu – et voyons encore – les pasteurs Yvon Charles et Samuel Charles être des personnes honnêtes, droites, spirituelles, patientes… Nous voyons en eux l’amour pour le Seigneur Jésus-Christ, l’amour pour la vérité et de la Sainte Parole (La Bible)!

Des hommes de Dieu qui vivent et mettent en pratique.

Le Centre Missionnaire, les pasteurs Yvon Charles et Samuel Charles ont fait beaucoup pour nous, sans regarder nos origines, nous ont aidés et apportés beaucoup… Après le Seigneur, nous ne serions pas celui et celle que nous sommes aujourd’hui sans eux.

Nous voulons dire à nos très chers amis et frères et sœurs en la foi : continuez à être ce que vous êtes ! À faire ce que vous faites et ce que Dieu vous demande de faire dans la vocation qui est vôtre ! Vous faites beaucoup de bien, le Centre Missionnaire est vraiment, dans ces temps-ci, si mauvais, un refuge et une oasis pour tous ceux qui aiment réellement le Seigneur et Sa Parole et qui veulent Lui être fidèles jusqu’au bout. Comme le dit tellement bien ce cantique: «Jusqu’à la mort, nous te serons fidèles!»

Jean-Pierre et Sabrina SABATIER